De Grèce, j’aurais pu,
amoureusement, vous parler,
Penché sur le berceau de
notre Civilisation.
De Delphes, j’aurais pu avec vous partager,
De la Pythie, les saines
prédications.
D’Epidaure, d’Olympie, avec
eux, j’aurais pu crier
De la Grèce, les souffrances et
exacerbations…
Ils assument leur sort,
La Grèce au Corps,
La Grèce au Cœur,
La Grèce des Penseurs,
La Grèce des Valeurs.
J’aurais pu …, mais n’en
dirai rien
Car au fond de moi, je suis
Athénien,
Profondément "Pasteur" Européen,
Et, ici, on ne comprend plus les siens…
Poème dédié à tous mes Amis Grecs.
Juin 2012, Kinetta (Attique - Grèce)
NOTA : Par rapport au sacrifice Grec
Les Dieux président à toutes les activités des hommes. Avant de commencer l'Assemblée, on prie le Zeus « des Assemblées» en lui offrant un sacrifice. Avant d'engager la bataille on sacrifie une chèvre à Artémis. A la fin de l'hiver, on fête joyeusement Dionysos, qui donne le vin (c'est le moment où le vin de l'automne précédent devient bon à boire). On fête aussi les morts : on leur donne à manger dans des marmites déposées aux carrefours, puis on leur demande de retourner chez eux jusqu'à l'année suivante. Ce sont les femmes des citoyens qui sont chargées de célébrer la fête de Déméter et de Koré, sa fille, pour qu'elles donnent de belles moissons et de beaux enfants à la cité. La fête est rigoureusement réservée aux femmes, et malheur aux curieux qui chercheraient à espionner le secret des rites grecs !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire